Nationalité : Mexique - Né(e) à : Mexico , 1973 - Gabriel Pacheco est auteur et illustrateur.
Il est diplômé de l'École nationale de théâtre du INBA. Son travail très poétique a reçu de nombreux prix.
GABRIEL PACHECO est né à Mexico en 1973). Il y est diplômé en scénographie de l’École Nationale de Théâtre de l’Institut National des Beaux-Arts et des Lettres. Il se consacre à l’illustration depuis 1997 et tout au long de sa carrière, il a reçu de nombreuses récompenses.
Ses illustrations des "Musiciens", aux couleurs douces et aux textures chaudes, aux animaux humanisés, c’est pour lui «un retour à la couleurs comme un jeu inévitable, c’est l’idée esthétique de Brueghel avec sa parabole des aveugles.
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Voici où vous découvrez les curiosités les plus grandes de la planète.
Les personnes curieuses apprennent mieux et plus vite, réussissent mieux à l'école et au travail. La curiosité peut même améliorer la mémoire et le développement cérébral. Les personnes curieuses ont de meilleures relations interpersonnelles et expriment plus facilement de l'empathie.
SITE POUR LES SCIENTIFIQUES : /www.connaissancedesenergies.org/tribune-actualite-energies/les-bombes-carbone-une-curieuse-invention-de-scientifiques-lanceurs-dalerte
Fille de Robert Raget, menuisier, et d'Henriette Craffe, couturière, Colette Lucie Raget naît au 98 bis rue de la Gare à Ermont (alors en Seine-et-Oise) ; elle passe son enfance dans cette commune jusqu'à ses études musicales.
Après des études de violoncelle, elle abandonne son projet de devenir musicienne à la suite d'une grave intervention chirurgicale et vit de petits emplois : « j'ai tricoté des pull-overs, emballé de la parfumerie, vendu des petits gâteaux et même posé pour des amis peintres. J'ai aussi travaillé chez une coiffeuse où j'ai fait des mises en plis ». Poussée par sa patronne coiffeuse, elle participe à un radio crochet et le gagne. Elle tente alors pendant deux ans de faire de la radio et des chansons, mais abandonne et apprend la sténodactylographie aux cours Pigier et entre comme secrétaire chez Raymond Legrand, où elle reprend la chanson ; elle l'épouse en troisièmes noces en 1960.
* Prix Georges-Brassens et auteurs dramatiques (Deauville - 1956) pourL'arbre et l'Homme
Coq de la chanson française 1958 pour le titre Envoie la musique
Grand prix du président de la République,
Grand prix international du disque,
Médaille de vermeil de la Ville de Paris.
Elle a publié deux ouvrages autobiographiques :Raconte-moi ta chanson en 1998, et Ceux qui s'aiment : bloc-notes en 2006.
En 1982, elle décroche deux disques d'or. Ses chansons ont eu de nombreux succès populaires. Colette Renard reste sans doute la dernière chanteuse inspirée par les réalistes d'après-guerre. Sa voix très expressive, son interprétation et sa diction la rendent reconnaissable au premier couplet. Elle enregistre aussi plusieurs albums de chansons érotiques, paillardes ou grivoises. La plus célèbre d'entre elles est sans conteste Les Nuits d'une demoiselle.
Colette Renarda également été la marraine de l'association du Blé de l'Espérancedont le but est d'aider les enfants hospitalisés à mieux vivre. À cette occasion, plusieurs pièces de théâtre sont successivement jouées à Marseille en 2008. Colette Renard y participait.
(TOUTE LA SUITE DE SON LONG PARCOURS D'ARTISTE SUR WIKIPEDIA)
MERCI A Des Racines et des Ailes : C'est l'un des sites les plus spectaculaires du Pays basque. En Espagne, près de Bilbao, l'ermitage de San Juan de Gaztelugatxe est perché sur un magnifique îlot.
Il existe plusieurs hypothèses étymologiques pour le mot gaztelugatxe :
« château [perché sur un] rocher » du basque « gaztelu » = château, et « aitz », pierre, roc, rocher, soit « Château érigé sur un roc »
« gatxe » (gaitz, gaizki), pierreux, difficile, mauvais, maudit, voire par substantivation Le Mal, soit Château maudit!!
Gaztelugatxe se situe sur la côte basque, souvent abrupte dans cette région car les vagues de l'océan Atlantique érodent sans cesse les rochers, façonnant ainsi des cavités, des arches et des îles comme celle de Gaztelugatxe. Celle-ci est du reste percée de plusieurs passages souterrains et possède de nombreuses grottes, dont certaines ont été aménagées.
L'ermitage de Gaztelugatxeko Doniene:
Depuis le Moyen Âge, le site est un lieu de pèlerinage. Un pont étroit suivi d'un escalier de 241 marches creusées en partie dans la roche permet d'y accéder, la voie étant aménagée en chemin de croix jalonné de 14 stations. La légende veut que saint Jean Baptiste ait débarqué à Bermeo. Il aurait atteint l'îlot en trois enjambées, laissant une empreinte à chacun de ses pas, la dernière au sommet de l'île, et sur laquelle il aurait ordonné de construire l'ermitage. La tradition basque recommande après la pénible montée, de faire sonner trois fois (chiffre tiré du nombre des pas du saint) la cloche du sanctuaire en faisant un vœu. À l'origine de la tradition, il s'agissait d'effrayer les mauvais esprits.
L'emplacement du site lui confère longtemps un rôle stratégique dans l'histoire de la région. Il sera ainsi l'objet d'enjeux quelquefois sanglants!
La construction de l'ermitage de San Juan de Gaztelugatxe (en basque : Gaztelugatxeko Doniene), dédié à saint Jean Baptiste, remonterait au IXe siècle. Celle de la petite église remonterait au Xe siècle.
Des sépultures datant du IXe au XIIe siècle ont été découvertes tant sur l'esplanade qu'à l'intérieur de l'ermitage.
Un an plus tard, il fut la cible d'une attaque par des Huguenots venus de La Rochelle, qui n'hésitèrent pas à précipiter de haut de la falaise le seul habitant de l'île, un ermite.
Pendant l’Inquisition espagnole, l’Église catholique traque les hérétiques jusque dans les environs de l’île. En effet, dans la région, des personnages comparables à des sorcières faisant partie intégrante de la culture basque, célébraient des rituels appelés Akelarre (« lande du bouc », en basque). Certains récits suggèrent que nombre d’entre elles furent enfermées dans les grottes de Gaztelugatxe.
Le site est progressivement abandonné par les religieux, qui emportent tous les objets de valeur avec eux. Mais le sanctuaire continue toutefois à être fréquenté par les habitants des alentours, notamment les marins ayant survécu à un ou des naufrages ainsi que les couples soucieux de fertilité. C'est pourquoi il abrite de nombreux ex-voto. Par ailleurs, les empreintes de pas de saint Jean-Baptiste sont censées être dotées de pouvoirs spécifiques!!.
Au XVIIIe siècle, le site est une dernière fois saccagé par des troupes anglaises.
Très détérioré, le site est entièrement reconstruit en 1886. Malheureusement, les objets retrouvés, qu'il s'agisse de pièces de monnaie ou de boulets de canon, jugés sans importance, seront jetés à la mer. Au XXe siècle, c'est ce qui attire, outre les légendes et l'exploration des fonds marins, les amateurs de plongée sous-marine.
En 1963, une image de la Vierge de Begoña (Virgen de Begoña) est placée dans les rochers, au-dessous de la surface de la mer.
Le 10 novembre 1978, le site est détruit dans un incendie. Restauré par des bénévoles recrutés par le prêtre Ramon Mendizabal, le sanctuaire rouvre ses portes deux ans plus tard, le 24 juin 1980.!! (LA SUITE SUR WIKIPEDIA)
Véritable nid d'aigle, Châteaudouble domine l'entrée des gorges de la Nartuby.
Le hameau de Rebouillon a été dévasté par la crue de la Nartuby
À l'époque pré-romaine, deux oppidums également fortifiés commandaient la région.
Cité en 1027, Castellum diaboli, comme le « château du diable », parce que construit au sommet d’un site inaccessible.
Au XIIIe siècle, les templiers s'installent dans le village.
Un Rostagni (?-v.1341) était connu pour être seigneur de Châteaudouble (1324) et de La Garde-Freinet (1327). Il reçut donation de l'albergue de ces deux villages.
Au milieu du XVe siècle, le village a quitté l’emplacement primitif pour s’installer en appui sur les falaises autour de la nouvelle église dédiée à Notre Dame de l’Annonciation.
Nostradamus, médecin et astrologue né en 1503, évoque le village dans l’une de ces prophétiesChâteaudouble, double château, la rivière sera tontombeau, en évoquant la Nartuby responsable de l’usure des falaises qui protègent le village!!.
La maison de retraite, inaugurée en 2014, a été fermée en 2016 faute de résidents. La préfecture a retenu ce lieu pour ouvrir un centre d'accueil et d'orientation (CAO) pour demandeurs d'asile!!
Gorges de Châteaudouble, sur la Nartuby, affluent de l'Argens, comprenant notamment trois grottes préhistoriques : la grotte Mouret, la grotte des Chèvres et la grotte des Chauves-Souris.
Personnalités liées à la commune:
Joseph-Elzéar-Alexandre de Baudrier, seigneur de Châteaudouble et de la Valette ; Pierre-Marc-Antoine de Baudrier, co-seigneur de Châteaudouble ; Pierre-Emmanuel de Baudrier, seigneur de Châteaudouble, Rebouillon et La Valette, Jean-Antoine de Paul de Châteaudouble, député du Var de 1815 à 1831 (TOUTE LA SUITE SUR WIKIPEDIA ET SITE OFFICIEL)
Salvatore Postiglione ( Naples , 20 décembre 1861 – Naples, 28 novembre 1906) était un peintre italien, principalement de portraits et de sujets historiques et de genre , dans un style réaliste .
Ce fut certainement l'un des peintres napolitains les plus doubles de la période historique coïncidant avec la soi-disant Belle Epoque .!!
SALVADORE POSTIGLIONE
Salvatore Postiglione, né à Naples le 20 décembre 1861, appartenait à une famille d'artistes. Frère de Luca Postiglione , également peintre, Salvatore a appris les premiers rudiments de son père Luigi - peintre religieux né prématurément - et de son fils Raffaele , dessinateur de talent, spécialiste des œuvres de Raffaello Sanzio et professeur à l' Académie des Beaux. -Arts de Naples , où Salvatore suit également les cours de Domenico Morelli .
PEINTURE DE LUCA POSTIGLIONE (FRERE DE SALAVATORE)
Salvatore Postiglionea pratiqué avec succès et originalité différents genres de peinture, comme les portraits, avec une prédilection particulière pour les figures féminines, les paysages et les croquis populaires.
Il a peint à fresque le château de Miramare , à Trieste , et une salle du palais De Riseis , à Naples . Il meurt à Naples le 28 novembre 1906 , à l'âge de quarante-cinq ans, toujours en pleine activité malgré sa mauvaise santé, et laisse son épouse GiuliaCalandra, d'origine piémontaise, et deux enfants : Luigi et Ida qui épousera le peintre Gennaro Bottiglieri né en 1899!
Le 24 mai 1907,Salvatore Postiglione est commémoré à l'Académie des Beaux-Arts de Naples.
MERCI A Luis Guillermo Vicuña - FB :https://www.facebook.com/annaraczka.painting/
Anna Raczka est une talentueuse artiste contemporaine polonaise. Depuis 2010, elle peint et dessine à plein temps
Pendant un certain temps, elle s'est impliquée dans le graphisme, la céramique, la conception de vêtements et d'autres formes d'expression artistique. Sa passion pour le dessin transparaît à travers ses peintures de femmes et de détails, exprimant les sentiments, les émotions et le message qu'elle partage.
Le style unique d'Anna, le choix de la couleur fait ressortir le tableau et captive l'attention du spectateur.
Elle tente de trouver une réponse dans la série de tableaux représentant les femmes et leur monde, c'est-à-dire une peinture intérieure, spirituelle et intime. Ses œuvres sont l'incarnation de la vie intérieure du personnage, tout comme la preuve physique de l'intimité intérieure de chacun.
Ses peintures sont exposées à la Biennale Arte 2017, également dans la prestigieuse Galleria Mentana à Florenc, Galeria Merlino Italie, Arthotel à Varsovie.
Elle a par ailleurs été l'épouse et le modèle du peintre Pierre Bonnard (1867-1947).
MARTHE DE MELIGNY (PSEUDO)
Maria Boursinnaît le 22 février 1869 au N°2 de la rue du Cheval Blanc à Saint-Amand-Montrond de parents berrichons d'origines modestes. Son père, Anatole Boursin, est charpentier et sa mère, Honorine Méténier, couturière!
. Elle quitte sa région pour Paris en 1891, change de nom et est engagée dans un atelier de fabrication de fleurs artificielles. Elle se met à fréquenter des artistes et rencontre Pierre Bonnard en 1893, à qui elle se présente sous le nom de Marthe de Méligny – pseudonyme qui rappelle les noms des courtisanes fin de siècle telles Blanche d'Antigny ou Jeanne de Tourbey. Elle dit descendre d'une vieille lignée italienne, orpheline et seule au monde. Elle ne révélera sa véritable identité au peintre que lors de leur mariage en 1925.
Devenue son modèle de prédilection (elle est notamment représentée dans Nu dans le bain), elle apprend la peinture avec Louise Hervieu et expose son œuvre sous le nom de Marthe Solange entre 1921 et 1929, particulièrement à la galerie Eugène Druet en 1924.
Le couple vit isolé, supposément en raison du caractère difficile de Marthe, maintes fois représentée de dos, refermée sur elle-même. En 1939, à la déclaration de la guerre, les Bonnard se réfugient au Cannet, à la villa Le Bosquet
Marthe Boursin meurt en 1942, au Cannet, et Pierre Bonnard cinq ans plus tard. À la mort du peintre, la succession, comprenant près de 700 toiles et plusieurs milliers de dessins et d'aquarelles, revient aux héritiers en ligne directe de Pierre Bonnard, le couple s'étant marié sous le régime de la communauté de biens. Le notaire commandite toutefois auprès d'un généalogiste une recherche sur Maria Boursin et découvre l'existence d'une sœur et de nièces. Après des années de procédure, un accord à l'amiable est trouvé, partageant les œuvres de l'artiste.
MERCI A Allociné | Bandes Annonces - UN FILM SUR UNE PASSION ENTRE PIERRE BONNARD LE "NABI" ET MARTHE BOURSIN DEVENUE MARTHE BONNARD!!
Pierre Bonnard est de ceux qui créent le mouvement NABI en référence à l'art de Paul Gauguin.
PIERRE BONNARD
En octobre 1888, Paul Sérusier, massier à l'académie Julian, revient de Bretagne, où il a peint sur le couvercle d'une boîte à cigare et sous la direction de Paul GauguinL'Aven au bois d'amour : pour ses camarades qui ignorent tout des évolutions récentes en peinture, ce tableautin est une révélation et ils en font leur « talisman »
Sérusier, Bonnard, Denis, Ranson et Ibels fondent un groupe informel qui se baptise « nabi », d'un mot hébreu signifiant « initié » et « prophète ». « Prophètes » de l'art de Gauguin, dont ils admirent les œuvres chez Boussod et Valadon puis à l'exposition Volpini de 1889 ; « initiés » en ce qu'ils découvrent chez Durand-Ruel les grands impressionnistes méconnus de leurs professeurs, puis, dans la boutique du Père Tanguy par exemple, Cézanne et van Gogh.
MERCI A Roselyne Genest - SITE OFFICIEL : https://jeandeletre.fr/
Je suis né et réside à Parthenay.
Je commence mon expérience professionnelle par un apprentissage de peintre en bâtiment à l’âge de 13 ans et demi.
En 1975, je découvre, par hasard une toile et quelques tubes de peinture ; sans aucune formation, il me faudra plusieurs années pour pouvoir m’exprimer de façon picturale.
Début des années quatre-vingt, je découvre la technique de peinture sur verre et réalise mes premières expositions avec l’association Arc en ciel de Parthenay.
Par la suite j’expose à Saint-Maixent l’École, Bressuire, Thouars, Saumur, Sainte-Maure-de-Touraine, Paris en 1993 et 1995…
En 1996, je change de support, laisse le verre pour la toile.
En 1998, contraint de changer de profession, je délaisse le bâtiment pour investir totalement la peinture artistique.
Cette nouvelle direction me permet une ouverture nationale et internationale. Jean Deletre