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LE BLOG DE FANFG
20 mars 2017

JORGE DONN - " LE BOLERO" 1982 - RAVEL

HOMMAGE A CE MERVEILLEUX DANSEUR!

Jorge Donn fut un danseur argentin né à San Juan le 25 février 1947 et mort à Lausanne le 30 novembre 1992.

Après des études à l'école de ballet du Teatro Colón, il rejoint le Ballet du XXe siècle dirigé par Maurice Béjart en 1963. Il en devient bientôt l'un des principaux solistes et crée les rôles titres de la Neuvième symphonie (1964), de Roméo et Juliette (1966), de la Messe pour le temps présent (1967), de Nijinsky, clown de Dieu (1971), de Notre Faust (1975), du Boléro (1979), etc. Il reprend aussi des rôles importants d’anciennes œuvres de Béjart comme dans Les Quatre Fils Aymon. Dansant du contemporain et du folklorique.

En 1980, il devient le directeur artistique du Ballet du XXe siècle puis, lorsque Béjart quitte Bruxelles pour Lausanne, Jorge Donn fonde sa propre compagnie, l'« Europe Ballet », qui ne durera que quelques mois. Il rejoint ensuite le Béjart Ballet Lausanne de Maurice Béjart à Lausanne, où il reprend notamment Nijinsky (1990). Il meurt du sida deux ans plus tard.

Il a incarné un personnage inspiré de Rudolf Noureev dans le film Les Uns et les Autres de Claude Lelouch où il exécutait le Boléro de Ravel.

                                               bejart4

 

 

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Commentaires
N
Sublime, merci pour ce beau moment d’émotion, Bisous !
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R
Je ne sais, chère Fan, si vous avez eu l'opportunité de suivre, d'une manière ou d'une autre, la carrière créatrice de Béjart. Nous, ici en Belgique, nous avons applaudi Jorge Donn, évidemment, Germinal Cassado, Paolo Bortoluzzi, Rudolf Noureev, aussi. Et puis, l'immense, immense Tania Bari qui très souvent m'a ému aux larmes, l'élégance naturelle des gestes féminins étant quand même à mes yeux supérieure à celles des hommes ...
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R
Un merveilleux danseur, effectivement, Fan, que j'ai eu l'occasion d'applaudir à maintes reprises, - notamment dans l'époustouflant "Sacre du Printemps", et bien sûr, dans l'envoûtant "Boléro", et tous ces ballets que vous évoquez ci-dessus, à Bruxelles, à Liège aussi, pour la "IXème" de Beethoven, au temps où Maurice Béjart - créateur de génie que la France avait bizarrement "rejeté" -, y triomphait à chaque nouvelle création ... et à chaque représentation, quand le danseur ou la danseuse titre allait le chercher dans les coulisses lors des salves d'applaudissements qui ne semblaient jamais vouloir s'arrêter .... ...<br /> <br /> Ce n'est pas sans une émotion difficilement contenue que je viens de revoir cette superbe séquence. Quel magnifique quart d'heure vous venez de m'offrir ! Merci Fan.
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